ESAT & entreprises adaptées de la ville de Saint-Jean-d'Angély (17400)
MESSIDOR SAINT-JEAN-D'ANGELY
Saint-Jean-d'Angély (17)12 travailleursDepuis 2013ESAT. AGRICOLE BIOLOGIQUE (ADEI)
Loulay (17)à 11 km48 travailleursDepuis 2003ESAT LA VIGERIE
Saint-Savinien (17)à 13 km101 travailleursDepuis 1983UNAPEI 17 SITE DE BORDS
Bords (17)à 21 km200 travailleursDepuis 1982Unapei17-Pôle Travail Protégé-ESAT DE BORDS
Bords (17)à 21 km24 travailleursDepuis 1973HOTRAVAIL CENTRE ATLANTIQUE
La Chapelle-des-Pots (17)à 21 km20 travailleursDepuis 2014ESAT DE SAINTES
Saintes (17)à 23 km50 travailleursDepuis 2007Les autres villes du département
Retrouvez toutes les autres villes du département où se situe des ESAT et entreprises adaptées :
Toutes les entreprises privées, collectivités et autres organisations publiques, et les particuliers peuvent acheter une prestation à un ESAT ou une Entreprise Adaptée (EA). Ces prestataires proposent de nombreux services, tels que des services traiteur, l'entretien des espaces verts, le nettoyage de locaux, le support administratif, ou encore l'impression de supports de communication (plus de 200 services différents). L'annuaire du Réseau Gesat, répertorie l'ensemble des prestataires responsables ESAT et EA, soit plus de 2250 établissements. En créant votre compte sur reseau-gesat.com, vous pourrez rechercher des ESAT et EA dans votre région, les contacter et demander un devis.
La démarche d'inclusion des entreprises est essentielle pour assurer la meilleure intégration possible de tous les talents, quels que soient leurs profils (genre, origine, handicap...). Elle s'inscrit plus largement dans la politique de développement responsable (ou RSE) de l'organisation. Comme le rappelle la tribune collective réalisée par des acteurs du secteur à l'occasion des 35 ans de la loi du 10 juillet 1987, "les personnes en situation de handicap sont un atout et une opportunité pour les employeurs publics, les entreprises et leurs salariés de mieux faire, d’innover, d’agir pour l’égalité des chances et d’intégrer de nouveaux talents. [...] Quand on sait gérer le handicap, on sait gérer la diversité ; la prise en compte du handicap est un vecteur de progrès social."
Un CDD dit « Tremplin » est un contrat entre un travailleur handicapé, sans emploi ou qui risque d'être sans emploi et une Entreprise Adaptée habilitée "Tremplin" qui vise à favoriser la mobilité professionnelle de cette personne vers les employeurs autres que les EA, tout en répondant aux besoins de ces derniers. Lancé en 2018 dans le cadre de la Loi pour choisir son avenir professionnel, ce dispositif se met en place ainsi : l'Entreprise Adaptée recrute, accompagne et forme un salarié en CDD Tremplin sur une durée de 4 à 24 mois. La personne recrutée est ensuite mise à disposition chez le client, avec l'objectif, dans le cadre d’un parcours individualisé de développer une accessibilité à d’autres emplois. La liste des EA habilitées "Tremplin" est disponible sur l'annuaire du Réseau Gesat.
L'Entreprise Adaptée de Travail Temporaire est, avant tout, une Entreprise Adaptée, mais qui a la particularité de proposer exclusivement des services sous la forme de contrats intérimaires de personnes en situation de handicap. Dans ce cadre, l'Entreprise Adaptée assure le sourcing des profils qui correspondent à la demande client ainsi que l'accompagnement du salarié tout au long de son parcours d'intégration au sein de l'entreprise accueillante. Il est également à noter que les prestations réalisées par les Entreprises Adaptées de Travail Temporaire sont valorisées (dans le cadre de l'Obligation d'Emploi de Travailleurs Handicapés) sous forme d'emploi direct pour les organisations privées et sous forme de sous-traitance pour les organisations publiques.
Toute organisation, quels que soient sa taille et son secteur d’activité, doit obligatoirement réaliser une déclaration annuelle du nombre de travailleurs handicapés recrutés. Cependant, dans le cadre de l’Obligation d’Emploi des Travailleurs Handicapés (OETH), seuls les organismes dont les effectifs se montent à 20 salariés ou plus doivent compter, dans leurs équipes, un minimum de 6 % de travailleurs en situation de handicap, sans quoi l’employeur devra se soumettre au versement d’une contribution annuelle.